Soupçon
Javier Calvo, sur la position de l'écrivain-traducteur:
Tu es soupçonné: le traducteur qui écrit n'est pas pris très au sérieux, on considère que c'est comme s'il écrivait dans ses moments libres.(source)
Calvo est l'auteur de deux romans et de deux recueils de nouvelles -- rien n'a été traduit en français. Il a aussi traduit en espagnol David Foster Wallace, J.M. Coetzee, W.H. Auden et Patrick McGrath parmi bien d'autres.
On reparle de son recueil "Los ríos perdidos de Londres" la semaine prochaine.
2 commentaires:
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A qui le dit-il…
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Moi, je préfère écrivains-traducteurs, parce que les traductions des traducteurs professionels, qui ne sont pas d'abord des écrivains, sont souvent raides et froids. Un écrivain seulement est capable de rendre justice à un oeuvre d'art. Non?
(Veuillez excuser mon mauvais francais (aussi, mon clavier manque une cédille))