Asensio - Bartleby - Monti: un entretien
Je ne sais pas dire non à un proposition de discussion, et c'est apparemment un défaut: on me reproche parfois de parler avec n'importe qui. On me dit que si le diable venait sonner chez moi, je le laisserais entrer, lui servirais un verre et me mettrais à causer avec lui. C'est, en effet, très probable. L'annonce que j'avais passé beaucoup de temps à échanger par mail avec Bartleby et Juan Asensio ne me vaut déjà pas que des regards (et encore moins de démonstrations) d'amitié. Ce n'est pas grave. Ce qui compte, c'est ce que vous trouverez dans le contenu de cet entretien, qui sera progressivement mis en ligne à partir de demain (ça commence sur Stalker).
3 commentaires:
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bonne attitude!
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J'aime bien les rares personnes capables d'ouvrir la porte au diable. D'ordinaire, on préfère le laisser entrer à son insu.
Au plaisir de vous lire, vous et vos camarades. ( Lequel serait le diable?...)
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Tout dépendra sans doute de l'opinion que vous vous faites (ou pas) de la littérature...