Asensio - Bartleby - Monti: un entretien

Je ne sais pas dire non à un proposition de discussion, et c'est apparemment un défaut: on me reproche parfois de parler avec n'importe qui. On me dit que si le diable venait sonner chez moi, je le laisserais entrer, lui servirais un verre et me mettrais à causer avec lui. C'est, en effet, très probable. L'annonce que j'avais passé beaucoup de temps à échanger par mail avec Bartleby et Juan Asensio ne me vaut déjà pas que des regards (et encore moins de démonstrations) d'amitié. Ce n'est pas grave. Ce qui compte, c'est ce que vous trouverez dans le contenu de cet entretien, qui sera progressivement mis en ligne à partir de demain (ça commence sur Stalker).


C'est incomplet ou trop complet, ce n'est pas terminé ou c'est interminable. Vous verrez. Ce sera peut-être insupportable ou étrangement plaisant, vous me direz. Je peux en tout cas vous assurer que mener ce dialogue à trois (!) a été exténuant, pas toujours satisfaisant mais qu'il me fallait le faire.

Je publierai la seconde partie ici même, sur un Tabula Rasa réouvert pour l'occasion. Certains d'entre vous, ceux qui m'avaient écrit pour me dire leur regret de voir cette page fermée seront sans doute contents, mais ce n'est que temporaire.

En attendant demain, je vous conseille la lecture de la préface écrite par Paméla Ramos. Je ne connaissais pas Paméla, et je tiens à la remercier pour son travail de relecture, de préfacière et peut-être surtout d'organisatrice. Elle a fait tout ça avec sévérité (vous devriez lire les dures critiques qu'elle nous a faites en privé) mais aussi avec générosité et une gentillesse peu commune, même chez des amis de longue date. Lisez donc son texte. Je le trouve, comme je lui a fait savoir, un peu trop affirmatif et pas assez conditionnel. Ce n'est sans doute que moi. Dites-moi quoi en commentaire, si ça vous chante.

 

3 commentaires:

  1. Anonyme said,

    bonne attitude!

    on 3:24 PM


  2. Anonyme said,

    J'aime bien les rares personnes capables d'ouvrir la porte au diable. D'ordinaire, on préfère le laisser entrer à son insu.
    Au plaisir de vous lire, vous et vos camarades. ( Lequel serait le diable?...)

    on 3:17 PM


  3. Tout dépendra sans doute de l'opinion que vous vous faites (ou pas) de la littérature...

    on 3:01 PM


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